A la création
Texte :
Emmanuel GenvrinMusique :
Jean-Luc TrulèsMise en scène :
Emmanuel Genvrin-
Scénographie :
Emmanuel Genvrin Costumes :
Emmanuel Genvrin
La distribution
-
Marie Mirandine
Augustine Touzet -
Marie Mirandine (remplaçante)
Maryline Janson -
Prosper
Olivier Mayolle -
Prosper (remplaçant)
Dominique Carrère -
Fernando
Emmanuel Genvrin -
Fernando (remplaçant)
Bernard Gonthier -
Mako
Paulo Randrianomé -
Mako (remplaçant)
Arnaud Dormeuil -
Marec, Mascarin
Jean-Luc Trulès -
Carmin, M. Houaret
Pierre-Louis Rivière
La Réunion de 1848 et l’Abolition
La pièce
Le spectacle
Le contexte
Recueillie par l’équipe de l’Office municipal de la jeunesse de Saint-Denis, ville où il n’existait pas de théâtre, la compagnie installa ses bureaux et une salle de répétition dans l’ancienne mairie et proposa comme lieu de représentation une halle du XIXe siècle, le Grand-Marché, espace à demi occupé par des bazardiers où la troupe multipliera les créations sept années durant. Pourquoi ne pas écrire ses propres textes ? Ainsi naquit Marie Dessembre, pièce fétiche, pièce identitaire, pièce de résistance reprise dans les grands moments, spécialement chaque fois qu’il fallait baptiser un nouveau lieu : le Grand-Marché de Saint-Denis en 1981, le Cinérama de La Possession en 1987, la friche de Jeumon lors du retour dans la capitale en 1991. A l’invitation du Conseil général, la pièce fut jouée sous forme de son et lumière pour l’inauguration du nouveau musée de Villèle. Marie Dessembre à Villèle fut l’unique commande publique en 40 ans au Théâtre Vollard.
Les vidéos
Les représentations
Le portfolio
La presse
Amuser, faire pleurer, le Théâtre Vollard a réalisé son but : réconcilier le grand public avec le théâtre.
Nathalie Legros – Le Quotidien de La Réunion
Les morceaux de bravoure ne manquent pas dans cette pièce à mi-chemin entre le rêve et la réalité.
La Parenthèse
L’éclatement du théâtre libre : engouement des acteurs et du public, Marie Dessembre est une pièce qui résiste au temps.
Claude Juan – Le Journal de l’île
Marie Dessembre est du « Vollard » par excellence. Pour la première fois la troupe écrivait un texte, une musique qui lui était propre, qui la révélait à elle-même.
Pascale David – Témoignages
Le Théâtre Vollard a bien mérité du 20 décembre. Marie Dessembre appartient désormais aux gens de l’île, aux Réunionnais.
Jean-Marc Devred – Le Quotidien
La pièce est le récit d’une société traversée par le débat sur l’avenir de l’industrie sucrière et la naissance d’une démocratie réunionnaise au son vibrant du maloya.
Pascale David – Témoignages