Kari Vollard – Théatre Vollard

A la création

Texte :
Emmanuel Genvrin
Musique :
Jean-Luc Trulès
Mise en scène :
Emmanuel Genvrin
Scénographie :
Emmanuel Genvrin
Costumes :

La distribution

Batterie
Thierry Abmon
Un serviteur, percussions
Jean Amémoutou
Esther
Dominique Attali
Esther, chant
Nicole Dambreville
Danse-chœur
Isabelle Désiré
Judith
Scholastique Dormeuil
Gaston, Ubu, clavier
Arnaud Dormeuil
Mascarin, Balthazar, basse
Jean-Luc Trulès
Mirandine, Nina, danse-chœur
Yaëlle Trulès
Nina, Tantine, saxo
Nicole Leichnig
Houaret, Moran, Huissier, Rougail, récitant
Emmanuel Genvrin
Mirandine, Judith, Paola, Marcelle
Délixia Perrine
Agrippine, Justine, Marcelle
Rachel Pothin,
Esther, Noéla, Minette
Nicole Payet
Houaret, Papin, saxo
Pierre-Louis Rivière
Contrebasse
Massimo Murgia

La Réunion racontée par le théâtre

La pièce

Une histoire de l’île revisitée avec des dialogues et des chansons du répertoire de la compagnie Vollard. Le kari est le plat traditionnel réunionnais rassemblant dans une même assiette différents mets et condiments très épicés.

Le spectacle

Une écriture d’Emmanuel Genvrin dans une mise en scène de l’auteur et des musiques de Jean-Luc Trulès. Ce spectacle-cabaret a pris sa forme définitive avec une scénographie d’Hervé Mazelin et le concours du groupe Tropicadéro en seconde partie. Avec : Thierry Abmon, Jean Amémoutou, Dominique Attali, Nicole Dambreville, Isabelle Désiré, Arnaud Dormeuil, Scholastique Dormeuil, Emmanuel Genvrin, Nicole Leichnig, Massimo Murgia, Nicole Payet, Délixia Perrine, Rachel Pothin, Pierre-Louis Rivière, Sonao, Yaëlle Trulès, Jean-Luc Trulès. Et le groupe Tropicadéro.

Les vidéos

Extraits à Jeumon

Interview le Cercle France 2

Extraits au Divan du Monde

Les représentations

Kari Vollard a été créé à Saint-Paul, sous le nom de Zistoir Créoles le 13 mai 1995 puis en février 1996 lors de la fête « Jeumon à la Belle Étoile » et enfin dans une production de la compagnie à l’Espace Jeumon de Saint-Denis de La Réunion en juin 1997. Il est joué aux Uburlesques de Laval en septembre et revient à Jeumon en décembre. Il s’étoffe d’une restauration créole à Paris au Divan du Monde du 11 juin au 5 décembre 1998 et participe les 11 et 12 septembre à la Fête de l’Humanité de La Courneuve. Il est joué aux Météores de Douai et à Saint-Denis (93) en avril et octobre 1999. Au total 82 représentations devant 15 000 spectateurs générant 87 articles de presse à La Réunion et dans l’Hexagone.

Devant les nuages qui s’amoncelaient : pressions sur L’Espace Jeumon, abandon du statut de centre dramatique, menace de liquidation judiciaire et procès en correctionnelle pour intimidation, le Divan du Monde, à Paris, s’avéra pour la compagnie un refuge, un moyen de survie économique et de préservation des contact avec les médias nationaux. C’est dans un bistrot de Douai après une représentations de Kari Vollard que la liberté fur rendue aux comédiens qui restèrent et, tout en jouant ailleurs pour certains, participèrent aux créations suivantes.