Le Barbier de Séville

Beaumarchais

A la création

  • Texte :
    Beaumarchais
  • Arnaud Dormeuil Musique :
    Arnaud Dormeuil
  • Mise en scène :
    Henri Segelstein
  • Scénographie :
    Hélène Corré
  • Rachel Pothin Costumes :
    Rachel Pothin

La distribution

  • Genvrin Emmanuel Figaro
    Emmanuel Genvrin
  • Rachel Pothin Rosine
    Rachel Pothin
  • Arnaud Dormeuil Bartholo
    Arnaud Dormeuil
  • Gilles lauret Don Bazile
    Gilles Lauret
  • Pierre-Louis Rivière Almaviva
    Pierre-Louis Rivière
  • Nicole Leichnig L’Eveillé
    Nicole Leichnig
  • Maxime Laope La Jeunesse
    Maxime Laope
  • Nicole Angama Le notaire
    Nicole Angama

Figaro à La Réunion

La pièce

Le comte Almaviva aidé de son valet Figaro épouse la jeune et belle Rosine en dépit de son tuteur Bartholo, médecin avare et jaloux.

Le spectacle

Texte de Beaumarchais, mise en scène d’Henri Segelstein, musique d’Arnaud Dormeuil, décors d’Hélène Corré, costumes d’Hélène Corré et Rachel Pothin. . Construction : Hélène Corré, Pascal Rebout, Pierre-Louis Rivière, Rémy Chopinet, Jacques Delors. Régie lumière : Pascal Rebout.Avec : Emmanuel Genvrin (Figaro), Rachel Pothin (Rosine), Arnaud Dormeuil (Bartholo), Gilles Lauret (Don Bazile), Pierre-Louis Rivière (Almaviva), et Nicole Leichnig, Nicole Angama, Maxime Laope, Alain Mariapin, Thierry Brière, Gilles Gallien

Les vidéos

Les représentations

Créé le 18 novembre 1986 au Grand Marché de Saint-Denis, repris en 1987 avec de nombreuses séances scolaires. 21 représentations devant 11500 spectateurs.

Le portfolio

La presse

Réactualisée, remise au goût du jour par une espèce de légèreté insouciante, on a allégé l’intrigue et débroussaillé les cœurs. Un rien de sucré dans le style, un rien de rock dans le ton

VL, Télé 7 jours

Emmanuel Genvrin en Figaro très « cool » et très efficace trouve d’un bout à l’autre de la pièce le ton juste. Féminine en diable, Rachel Pothin campe à merveille une Rosine super vamp. Quant à Arnaud Dormeuil, il est irrésistible.

Marine, JIR

Henri Segelstein n’a pas lésiné sur le jeu des acteurs, les amenant à se dépasser eux-mêmes et leur offrant des rôles auquels ils n’étaient pas habitués.

Nathalie Legros, Le Quotidien de La Réunion

Monter un classique de nos jours, ce n’est pas exhumer un fossile, c’est souligner le côté naturel, vivant et – dans le cas de Beaumarchais – irrésistiblement drôle, quelquefois cruel de l’œuvre. C’est ce qu’a fait Vollard et cela vaut la peine d’être vu.

Pascale David, Témoignages

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